Ophtalmologie

La sécheresse oculaire

Elle découle d’une détérioration qualitative et/ou quantitative de la sécrétion lacrymale, et occasionne, suite au défaut d’hydratation de la surface de l’œil, inconfort, gêne voire sensation d’altération visuelle.

 

Tous concernés

Avec près de 9 millions de personnes touchées en France, la sécheresse oculaire constitue l’une des plus fréquentes et des plus banales affections oculaires de ces dernières années. Il nous arrive de ressentir brûlures, picotements ou « comme du sable dans les yeux » en fin de journée quels que soient notre  lieu de vie, notre métier ou notre âge ?

  • Les accros aux écrans : ordinateur, télévision, tablette, mobile..., le regard est fixe et les mouvements oculaires sont fortement réduits. Le battement naturel des paupières stimulé par les changements de perspective et les mouvements de la tête est fortement diminué : la fréquence moyenne normale est de 20 clignements par minute. En revanche, devant un écran, la fréquence est de 5 et peut aller jusqu’à 2 clignements par minute devant un jeu vidéo.
  • 25 % des personnes travaillant sur écran se plaignent de sécheresse oculaire, un des symptômes de la fatigue visuelle.
  • Les porteurs de lentilles : près de 50 % des porteurs de lentilles présentent des symptômes de sécheresse oculaire. Ils y sont 12 fois plus sujets  que les personnes ne présentant pas de défauts visuels, et 5 fois plus que les porteurs de lunettes.
  • Les seniors : en raison du vieillissement naturel de l’œil, notre système lacrymal devient moins performant et la quantité de nos larmes diminue.

 

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